Indeed, il s'agit du premier album du groupe lillois Superflu et exactement le type d'ambiance qui convient après la bourrasque. J'aurais très bien pu faire tourner Reflections d'Alan Stivell ou ma trilogie de Mike Vass : DecemberWell, Notes from the boat ou Save his calm et je vais en profiter pour placer sur ce blog ce compositeur écossais dont je m'étais épris en 2012, né à Nairn à côté d'Inverness (une des plus belles plages des Highlands à Nairn, soit-dit en passant, et Union Vinyl qui trônait en haut des marches de Market Brae à Sneck - Inverness - n'existe plus, le proprio a bougé à Nairn et a mis ses skeuds avec des fringues, la boutique s'appelle Vinyl 2 Vintage).
Superflu donc et leur premier album sorti en 1998, ce superbe Et puis après on verra bien. Il a été réédité l'année dernière avec un nouvel artwork et trois titres additionnels en bonus chez Microcultures. Le groupe est composé à la base de Nicolas Falez (chant, guitares, piano, orgue, harmonica), déjà écouté sur Haar brut avec Fontaine Wallace, Sonia Bricout (chant, choeurs), Sébastien Drique (guitare, choeurs, triangle, melodica), tous trois issus de l'École supérieure de journalisme de Lille, rejoints ensuite par Gauthier Montury (basse) et Gilles Constantini (violon). Album fortement mélancolique aux teintes folk rock américain qui ne peut laisser indifférent.
Puisque tu laisses au vent le soin de m'apporter de tes nouvelles, je laisse la fenêtre ouverte et j'attends.



















































