Cet album j'y tiens, c'est celui qui m'a fait découvrir Théo Hakola. Je l'avais trouvé à la discothèque de prêt de Limoges Beaubreuil qui était une mine de bons disques de rock, punk, et de BD aussi (mon intérêt pour Hugo Pratt est également né dans cet établissement). Chez Orchestre Rouge tout est parti du coup de foudre provoqué par Where family happens et son intro de basse métallique à la Peter Hook enchainé ensuite par les guitares saturées et un gros son parsemé de petites cordes claires délicieuses à l'écoute. Un de mes titres préférés de toute la disco Orchestre Rouge/ Passion Fodder avec la saveur particulière de celui qui fut le premier. J'avais donc enregistré précieusement le 33t sur K7 mais dès que j'ai pu trouver le disque je l'ai acheté.
J'ai déjà évoqué plusieurs fois sur le blog cet univers d'Hakola donc je ne vais pas faire de la redite mais plutôt savourer une nouvelle fois ces titres qui passent de la violence à la mélancolie en un instant et quasiment toujours à connotation politique. Un disque que j'affectionne particulièrement. La chronique de Rock Art de juillet 1983 est parfaite (voir plus bas) .
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