Un de mes tous premiers achats de disque, à 13 ans, dans le centre commercial Cora.
Hé bien je trouve toujours la mélodie sympa et l'histoire racontée assez touchante malgré le pathétique de la chose, pas très rock'n'roll, "on balayait Tino Rossi", "woop woop wapdou-ap", super...
Le refrain reste pourtant dans la tête. Pour être honnête j'ai même un mal fou à m'en débarrasser depuis j'ai rippé le 45t, lol.
J'ai fait de menues recherches ici et là et l'histoire serait inspirée d'Aldo Martinez (crédité sur le verso de la pochette pour la photo) ancien guitariste bassiste des Chaussettes Noires d'Eddy Mitchell et le Henri pourrait être Henri Leproux créateur du Golf Drouot. Va savoir. Le disque est produit par un routier du show business "à la française", Paul Lederman.
Tiens, j'ai découvert la face B. J'avais dû l'écouter une fois sans doute, ça fera deux et il n'y en aura sûrement pas trois.
Chose promise (à Haar brut), chose dûe. Un premier guilty pleasure...
Pourquoi ne pas dire « plaisir coupable » au lieu de « guilty pleasure » ?
RépondreSupprimerces chevrons sont vraiment très laids.
SupprimerAucune honte à avoir Malto car le morceau est d'une grande qualité. Je l'avais aussi ce 45t.
RépondreSupprimermakhno
aucune honte, Makhno, sinon je ne l'aurais pas posté. cqfd.
SupprimerJe l'ai aussi acheté en 45 tours à l'époque, un chouette disque. Pas de honte à avoir, un peu de répit dans ce monde punk...
RépondreSupprimerOeuf corse, la honte c'est pour les dogmatiques, nous on s'en ballec ... Figurez vous que j'ai joué dans un groupe de Rockabilly Twist (mais PAS yéyé) et que lorsque je dois laisser un message vocal à mes ex comparses je leur fredonne un "souviens toi de moi, j'faisait les choeurs les wap doo wap" ... mais aussi la guitare. Ce qui est bien quand tu prend de la bouteille c'est que tu sais ce que tu aime vraiment, et que t'en a plus rien a battre des soit disant militants casse bonbons contre la culture commerciale. Libre comme un Surfin' Bird
RépondreSupprimerpapa ouh meow meow