samedi 3 décembre 2022

Electric Manchakou, S/T (2011)

Quitte à rester dans les E et dans les Electric, autant gratifier le blog de pure électricité avec ce groupe originaire de Sète émigré à Londres et qui scandaleusement est passé au travers et n'a pas eu la reconnaissance qu'il méritait ! Il aura fallu encore le travail admirable de Mémoire Neuve pour remettre les pendules à l'heure. A l'heure, mais en remontant le temps: les titres, qui sont leurs principaux enregistrements, sont présentés dans l'ordre chronologique inverse en commençant par Tonite enregistré à Londres en 1991 pour s'achever sur My name is Manchacou enregistré à Paris en 1985. Un son brut et des riffs stoogiens en veux tu en voilà. C'est simple c'est une tuerie.
Electric Manchakou, avec un nom pareil et une musique telle que la leur, aurait du mettre la France du rock à genoux. Ils se contenteront des lecteurs de ce blog s'il y en a. En parlant de lecture, la pochette intérieure et l'insert retracent l'historique de ces unknown heroes.
recto verso très classe


historique et arbre généalogique
belles rondelles bien carrées

4 commentaires:

  1. Ta chronique dithyrambique me donne l'envie de découvrir ces illustres inconnus, merci.
    b.bebe

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  2. je ne l'avais pas acheté celui là cheveux trop longLOL mais ça s'écoute bien finalement

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  3. Il y a la traduction d'un article sur le groupe issu du livre de Julian Cope "Copendium, an expedition into the Rock ‘n’ Roll Underworld" à l'adresse suivante:
    https://asso-lapoissonnerie-marseille.org/2014/02/electric-manchakou-par-julian-cope.html
    makhno

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    1. je l'avais vu cet article. Il les a pris pour des Italiens apparemment !

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